Romance d’un Maître calin

Penser à vous me met à l’aise
Impatient j’attends les tenues
Où j’oserai sans que déplaise
A mes frères livrer mon cœur nu
Où j’oserai sans fard être moi-même
Et puis pouvoir sans me mettre à genoux
Vous dire combien sœurs et frères je vous aime
Et je suis trop bien parmi vous

 

Si parfois j’ai le cœur qui saigne
C’est d’avoir été torturé
Pour un frère à qui j’ai fait peine
Par des mots qui l’ont pu blesser.
Bien que cachée,ma souffrance est extrême
De n’avoir su par des mots les plus doux
Vous dire combien sœurs et frères je vous aime
Et je suis trop bien parmi vous