Cacahuète

Sur l’air de la Rirette
Cette chanson populaire issue du folklore pourrait avoir été composée par Nicolas Dalayrac dans son opéra-comique Les Deux Petits Savoyards, créé en 1789. Par la suite, elle a été attribuée, sans doute à tort, à Aristide Bruant, qui en fut l’interprète avec succès en 1890.

Paroles de Julio

Un maçon perd sa cédille
Cacahuète, cacahuè-ète !
Un maçon perd sa cédille
Et s’retrouve comme un con (bis)

Sans caleçon plus de culotte
Cacahuète, cacahuè-ète !
Sans caleçon plus de culotte
Il lui tombe son pantalon (bis)

Il prend son cul pour sa tête
Cacahuète, cacahuè-ète !
Il prend son cul pour sa tête
Et crie à la trahison (bis)

Au signe de sa détresse
Cacahuète, cacahuè-ète !
Au signe de sa détresse
Le GADLU ne fait qu’un bond (bis)

Pour soulager sa misère
Cacahuète, cacahuè-ète !
Pour soulager sa misère
Il lui passe un beau cordon (bis)

La morale de cette histoire
Cacahuète, cacahuè-ète !
La morale de cette histoire
On vous la dit sans façon (bis)
La cédille est illusoire
Cacahuète, cacahuè-ète !
La cédille est illusoire
Les maçons sont ce qu’ils sont (bis)