Sur l’air de ” Tchi tchi “ Ô Catarinetta Bella, de Tino Rossi)
(Remplacer Ô sœur chérie par le prénom d’une sœur âgée qu’on veut honorer)
paroles de Julio
Tu n’as plus 3 ans mais / faut voir comme
Tu décores encore / les colonnes
Est-ce l’œil du GADLU
Qui t’anime
Ou bien la blancheur / du grade ultime
Des Grands Élus
Ô Sœur chérie que l’on t’aime, tchi, tchi
Souviens-toi des jours bohèmes, tchi, tchi
Nous rêvions comme des enfants, Ah… Ah…
Nous chantions gais et délirant, Ah… Ah…
Plus tard quand je serai vieille, tchi, tchi
Tu nous disais à l’oreille, tchi, tchi
N’oublions jamais ce temps-là, Ah… Ah…
Ô Sœur chérie que l’on t’aime, là !
Malgré les coups les mots / qui irritent
Et la foi en chemin / qui s’effrite
Les illusions parfois
Si amères
Tu sais bien qu’au fond, les sœurs, les frères
Y’a pas mieux qu’ça !
Ô Sœur chérie que l’on t’aime, tchi, tchi
Souviens-toi des jours bohèmes, tchi, tchi
Nous rêvions comme des enfants, Ah… Ah…
Nous chantions gais et délirant, Ah… Ah…
Plus tard quand je serai vieille, tchi, tchi
Tu nous disais à l’oreille, tchi, tchi
N’oublions jamais ce temps-là, Ah… Ah…
Ô Sœur chérie que l’on t’aime, là
Plus tard quand je serai vieille, tchi, tchi
Tu nous disais à l’oreille, tchi, tchi
N’oublions jamais ce temps-là, Ah… Ah…
Ô Sœur chérie que l’on t’aime, là !