Inspiré de “tempête sous un bénitier”- Georges Brassens

Tempête dans un atelier
Le souverain Grand Maître en tête
Les Illustres, qui se la pètent
Nous font un satané chantier

Ils ne savent pas ce qu’ils perdent
Tous ces fichus laïcards
Sans le GADLU, sans le GADLU
La tenue nous emmerde
À l’ouverture rituelle
Les dieux sont mis au placard
Sans le GADLU, sans le GADLU
Plus rien qui ensorcè-èle
Le rite qui nous envoute
S’avère alors saugrenu
Sans le GADLU, sans le GADLU
Et tous les Frèr’s s’en foutent
Sans la Bible c’est la me-erde
Grand Architecte barbu
Les mécréants nous emmerdent
Sans le GADLU

Je ne suis pas le seul meurtri
Depuis que des cons d’agnostiques
Ont brûlé l’Être allégorique
De me faire suer jusqu’à minuit

Ils ne savent pas ce qu’ils perdent
Tous ces fichus laïcards
Sans le GADLU, sans le GADLU
La tenue nous emmerde
En s’fichant d’la symbolique
Ils nous prenn’ pour des toquards
Sans le GADLU, sans le GADLU
Y’a plus rien de magique
On va refaire la prière
Qu’on nous avait défendue
Sans le GADLU, sans le GADLU
L’ère nous parait vulgaire
Sans la Bible c’est la me-erde
Grand Architecte barbu
Les mécréants nous emmerdent
Sans le GADLU – BIS