Canulars

 

L’humour, le canular, la dérision, la farce, comme moyens d’action militante et d’éveil des consciences… 

Adrien Moreau 1843-1906 Une mascarade au XVIIe siècle

Le Blasphème de Clovis
(Pied de nez au Baptême de Clovis)
La GLDMS
(Grande Loge des Maçons séparés)
Le Legs Fuzier
(Comment un fonds maçonnique bidon a fait marcher une loge)
La Saint Verhaegen
(Comment un FM, fervent laïque, est devenu un Saint)
Le Palladisme
(Comment ne pas évoquer Léo Taxil, ancien F. passé à l’anti-maçonnisme ?)
Confrérie des Chevaliers du Taste-fesses (Hommage à Léo Campion)
Nains de jardin maçons
1er avril 2024
(Création de l’Office de Bouffon)
  L’efficacité des bouffons est-elle à démontrer ? Aristophane, Rabelais, Molière, Charlot, Desproges, Coluche, etc… contrairement aux censeurs qui critiquent les opinions des autres, eux, ne font qu’en rire.
Et c’est cela qui dérange… qui dérange les puissants aussi bien que les braves gens -ceux que chante Brassens- qui les adulent.
Seuls les bouffons du Roi auraient-ils vocation à l’ironie et à l’impertinence ? N’est-il pas rassurant que ce soit une académie “royale” qui ait consacré le bouffon Dario Fo (Prix Nobel de littérature 1997) ?
Même si le bouffon n’est pas dénué de quelque orgueil, ce n’est pas pour lui-même qu’il prend des risques, mais pour les causes qui lui sont chères; à l’exemple de Cyrano, qu’Edmond Rostand affuble -et ce n’est pas par hasard- d’un nez de bouffon :
“Je me suis battu, madame, et c’est tant mieux,
Non pour mon vilain nez, mais pour vos beaux yeux”.
   Mais ne jamais oublier de rire d’abord de soi-même, car comme dirait Pierre Dac:
” Bien heureux ceux qui savent rire d’eux-mêmes, ils n’ont pas fini de s’amuser !”